vendredi 22 mars 2013

La Grande Révélation est proche : Conférence à Paris

La Grande Révélation est proche

Conférence et Vidéo d'après les informations données par Benjamin Creme

Samedi 20 avril 2013 de 15 h à 19 h 30 à l'Espace Charenton à Paris 

 5 rue Théodore Hamont  Paris 12e 




Il est prévu un adombrement de Benjamin Creme par Maitreya, en direct de Londres (par videoconference).

L'injustice et la souffrance n'ont qu'une seule et unique cause : nous ignorons le but de la vie. Le moment est venu pour nous de connaître le sens de notre existence afin de faire face aux défis du monde actuel et instaurer une nouvelle civilisation où régneront la justice, la paix et la liberté.

Cette nouvelle compréhension sera le fruit des enseignements de Maitreya, le grand Instructeur annoncé par différentes traditions, et dont la mission publique a déjà commencé.
Progressivement, il se fait connaître des médias, sans pour l'instant révéler son véritable statut.

Ce processus d'émergence culminera prochainement lors du Jour de Déclaration, où il dira enfin qui il est. Soyons assurés que l'humanité mettra bientôt un terme à ses errements.

Depuis plus de trente ans, dans ses innombrables conférences autour du monde et un quinzaine d'ouvrages, Benjamin Creme annonce le retour des Maîtres et l'aube de l'Ere du Verseau. Son message suscite l'espoir dans le monde entier.

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mardi 12 mars 2013

Le Suaire de Turin montré à la télé le 30 mars 2013

Le Suaire de Turin montré en direct pendant une heure sur RAI Uno, la veille de Pâques

Il semble que dans le cadre de ses derniers actes officiels, Joseph Aloisius Ratzinger, le pape démissionnaire, ait demandé que le Suaire de Turin soit exposé à la télévision. D'après le journal La Croix, cette ostension exceptionnelle, "décrite par le Saint-Siège comme un ultime cadeau du pape émérite à l'Eglise catholique, sera uniquement télévisée et aura lieu dans l'après-midi du samedi saint 30 mars.

Jusqu'ici, une telle ostension télévisée n'a eu lieu qu'une seule fois: le 23 novembre 1973, à la demande de Paul VI. Cette fois-ci, les images ne seront pas réservées à la seule RAI italienne mais tous les diffuseurs qui en feront la demande pourront obtenir les images."

Sources: La Croix / Grenzwissenschaft-aktuell

De quoi nous conforter dans l'idée qu'au-delà des apparences, il pourrait peut-être s'agir de quelque chose de très particulier, voire d'exceptionnel ...  

Pourtant entre rationalisme et foi, les avis divergent. Il y a ceux qui, pour différentes raisons, doutent de l'authenticité et de la "fonction" passée attribuée à cette pièce de tissu et ceux qui donnent du crédit à la croyance selon laquelle il aurait servi à envelopper le corps de Jésus après la crucifixion.  

Si pour nos contemporains bien des dogmes de l'Eglise suffisent à jeter le doute sur bien des croyances religieuses qu'elle professe, ou même entraînent leur rejet pur et simple, il est non moins certain que l'histoire supposée du Suaire semble difficile à admettre d'un simple point de vue rationnel, du moins du point de vue contemporain tel que communément accepté. 

L'on ne sera donc guère étonné de savoir que, si nous nous y intéressons ici, c'est parce qu'entre les deux positions évoquées plus haut, il existe peut-être encore une autre explication possible, susceptible de nous éclairer et c'est bien celle-là qui retient notre attention, tout à fait dans l'esprit particulier de ce blog.

Très peu souvent exposé au public (quatre fois au cours des 100 dernières années), ce fut cependant le cas en 2010, ce qui nous a poussé à nous rendre à Turin pour voir ce suaire et nous publions ici nos photos prises à cette occasion.

Suaire de Turin, vu de côté / photo mai 2010 webm prana infos

Suaire de Turin, vu de face / photo mai 2010 webm prana infos

Parmi l'abondante documentation disponible, à signaler un dossier assez complet sur Wikipédia. Egalement un point de vue extrêmement original à travers un article de la revue Books, sur lequel nous sommes tombés dans une salle d'attente d'un médecin, il y a quelques mois.

Un passionnant article de la revue Books 

Il s'agit d'un article paru dans le numéro de septembre 2011 de Books , en relation avec la présentation de "L'énigme du Suaire", un livre de Ian Wilson paru chez Albin Michel, 2010.

Il y est précisé que Ian Wilson est un auteur anglais vivant en Australie, spécialisé dans l'analyse des mystères historico-religieux et qu'il a publié une vingtaine de livres. Il y est précisé également que cet article de John Ray est paru dans le Times Literary Supplement le 29 octobre 2010 et qu'il a été traduit par Laurent Bury.

Le Suaire de Turin, encore et toujours ...
Est-ce un faux réalisé par un artiste génial au Moyen Âge, ou une relique beaucoup plus ancienne, voire, peut-être ... ? Les scientifiques y perdent leur latin.
Le saint suaire de Turin est d'abord apparu en France, vers 1350. Un litige naquit aussitôt sur la question de sa propriété et sur sa nature. L'affaire remonta jusqu'au pape. Fort commodément, on trouva bientôt un homme qui avoua l'avoir peint. Cette "oeuvre" ne ressemble à aucune autre dans l'art médiéval, mais notre époque sceptique a de plus en plus de mal à y voir un objet miraculeux.
 En 1988, la datation au carbone 14 régla apparemment le sujet en situant la création du suaire aux alentours du XIVe siècle. Pour l'accusation, le dossier est clair: malgré les marques pâles et énigmatiques qu'il arbore, le tissu conservé à Turin est tout simplement un faux, fabriqué au Moyen Âge. 
 Le principal avocat de la défense, Ian Wilson, en revanche, n'a cessé de contester le verdict prononcé en 1988. Selon lui, le carbone 14 est un outil de datation utile, mais pas infaillible. Le suaire est représenté dans un manuscrit hongrois rédigé dans les années 1190, et l'analyse chimico-légale continue de révéler des détails comme des traces de calcaire ressemblant fort à de la poussière de Jérusalem, qu'un faussaire ordinaire aurait été incapable d'introduire.
 Les traces de pollen, qui ont été analysées deux fois, indiquent que le tissu est passé par l'Anatolie, et aussi, semble-t-il, par la Terre sainte. Le peintre inconnu connaissait les techniques de la crucifixion aussi bien que les archéologues actuels , et on se demande d'où il tirait ce savoir. Même les tâches de sang sur la toile semblent avoir été présentes avant l'image du corps, ce qui donne pour le moins l'impression que l'artiste avait choisi la difficulté. Il n'a laissé ni esquisse des contours, ni coup de pinceau, et il a osé représenter Jésus nu. 
 On sait depuis plus d'un siècle que l'image figurant sur la toile est un négatif photographique, mais il s'avère à présent qu'elle possède un élément tridimensionnel, contrairement aux photos ordinaires.   [...]
On voit de temps en temps surgir l'hypothèse que le suaire serait le fruit d'une sorte de coïncidence. Il pourrait, par exemple, n'être que l'image d'un individu lambda qui se trouve avoir été crucifié, et qui réussit à se photographier sur un bout de tissu, sous la forme d'un négatif en 3D.
Les données fournies par Wilson mènent à la conclusion que deux explications seulement sont possibles. Selon la première, il s'agit bien du suaire de Jésus de Nazareth, et il y a une part d'inexplicable. Tout lecteur des Evangiles sait que Jésus a fait l'objet d'affirmations extraordinaires de son vivant et plus encore après sa mort. Des millions de gens sont persuadés de leur véracité. Cela ne signifie pas que les chrétiens sont tenus de croire en l'authenticité du suaire de Turin; beaucoup n'y croient pas, et la plupart sont sans opinion. Mais cela signifie qu'ils ne peuvent entièrement tourner le dos au transcendant.
Une sophistication stupéfiante
La seconde explication sera une bonne nouvelle pour les laïcs et les sceptiques: nous avons affaire à une oeuvre d'art religieux. Mais c'est aussi une mauvaise nouvelle: l'artiste est d'une sophistication stupéfiante. Il y a tout à parier qu'il ne travaillait pas au beau Moyen Âge, mais avant, en ce temps que les Anglo-Saxons appellent l' "Âge sombre ". En ce cas, le silence des historiens d'art à son sujet est de plus en plus étonnant. 
 A quelle école appartient-il ? Où travaillait-il ? Qu'a-t-il produit d'autre ? Avec quels moyens ? Après tout, cet homme aurait eu des leçons à donner à Léonard de Vinci. Est-il plus simple d'admettre l'existence d'un tel artiste ou d'accepter qu'il y a des choses qui nous dépassent ? 
 La vérité est peut-être celle-ci: les croyants ont peur que le suaire se révèle être une oeuvre d'art et les historiens d'art craignent le contraire. Aucune de ces explications n'est facile à digérer, mais Ian Wilson a fait son choix et nous en donne les raisons. Ses lecteurs se trouvent à leur tour pris entre l'enclume de la foi et la recherche d'un faussaire forcément génial. Un choix qu'il devient de plus en plus difficile d'éviter.   
 Source : Revue Books no 25 (reproduction partielle de l'article avec l'accord de Books)



Le Suaire de Turin : un inestimable témoignage d'une autre réalité ?

A noter qu'en principe il est interdit de photographier le Suaire, mais l'interdiction n'est guère respectée, à commencer par les Italiens. Ainsi donc avons nous également pris une série de photos en ce mois de mai 2010. Chacun peut dès lors  faire l'expérience suivante par lui-même à partir d'une de ses photos du suaire.


Photo du Suaire recadrée et redressée à la verticale / mai 2010 webm prana infos

La même photo, traitée en négatif / mai 2010 photo webm prana infos

Même photo traitée en négatif, puis couleur sépia / mai 2010 photo webm prana infos
 
Le Suaire de Turin : un inestimable témoignage d'une autre réalité ?

L'on ne s'étonnera guère non plus que nous regardions aussi du côté d'une explication d'ordre ésotérique, et plus spécialement des indications données par Benjamin Creme, peintre, écrivain et ésotériste anglais, rédacteur en chef de la revue Share International ( Partage International pour la version française).

Rappelons en deux mots que d'après la tradition ésotérique à laquelle il se réfère, il y a deux mille ans, Jésus était le disciple du Christ, ce terme étant à prendre et comprendre dans son acception ésotérique. Pour Benjamin Creme, le Suaire est tout à fait authentique et témoigne d'une réalité qui reste à être connue du monde.

Le lecteur intéressé pourra se reporter à la revue Partage International et/ou au site du même nom où la thématique du Suaire de Turin a été abordée plusieurs fois au cours des dernières années.

Nous ajouterons simplement que, toujours d'après Benjamin Creme, le Christ, Maitreya, et Jésus (lui même devenu un Maître de Sagesse entretemps), ces Frères Aînés de l'humanité, s'apprêtent à émerger en groupe, publiquement, au terme d'un processus en cours, dans le respect du libre arbitre de l'humanité ...

Une vision ésotérique des choses qui peut donner un éclairage différent de bien des événements... 

Photo d'une photo exposée dans une chapelle à Turin / mai 2010 webm prana infos


mercredi 6 mars 2013

"Pierre Rabhi, au nom de la Terre"

Une information reçue par mail, que nous reprenons bien volontiers.


Sortie du film le 27 mars 2013

" Réalisé par Marie-Dominique Dhelsing, "Pierre Rabhi, au nom de la Terre" retrace l'itinéraire de Pierre Rabhi, du désert algérien à son expertise internationale en sécurité alimentaire. C'est aussi l'histoire d'un homme et de sa capacité hors du commun à penser et à agir pour un monde différent, plus respectueux des hommes et de la terre.

Au fil des images, vous découvrez les organisations qui se sont créées pour incarner les idées de Pierre Rabhi : Terre et Humanisme, la Fermes des Enfants, le Hameau des Buis, Colibris, les Amanins ...
Qu'il s'agisse de transmettre l'agroécologie, de reconstruire l'autonomie alimentaire, de développer des éco-lieux, d'éduquer autrement nos enfants, de montrer des initiatives pionnières dans tous les domaines, chaque organisation, à son échelle, propose des voies d'avenir, appropriables par tous."


Pierre Rabhi / photo 2009 webm. prana infos

Synopsis

" Pierre Rabhi est paysan, écrivain et penseur. Il est l'un des pionniers de l'agro-écologie en France.
Amoureux de la Terre nourricière, engagé depuis quarante ans au service de l'Homme et de la Nature, il appelle aujourd'hui à l'éveil des consciences pour construire un nouveau modèle de société où une "sobriété heureuse" se substituerait à la surconsommation et au mal-être des civilisations contemporaines. 

Ce film retrace l'histoire d'un "sage", du désert algérien à son expertise alimentaire en sécurité alimentaire. L'histoire d'un homme et de sa capacité hors du commun à penser et à agir en fédérant ce que l'humanité a de meilleur pour préserver notre planète des souffrances qu'elle subit.
"Pierre Rabhi, Au nom de la Terre" raconte le cheminement d'une vie et la conception d'une pensée qui met l'Humanité face à l'enjeu de sa propre destinée. "  


dimanche 3 mars 2013

Pérou : à Ica, les pierres gravées du Dr Cabrera

Ica : une extraordinaire bibliothèque de pierre ?

"La Terre est un cimetière de civilisations. D'immenses mystères nous défient, des rives du Nil jusqu'à une île dans le Pacifique, du Golfe du Morbihan à la Cordillère des Andes."

Chronique des  civilisations disparues, de Patrick Ferryn et Ivan Verheyden / Ed. Robert Laffont

Nul doute que cette citation d'un ouvrage paru en 1976 risque d'être d'actualité pour un bon moment encore, et le Pérou pourrait en être l'une des meilleures illustrations.

Après Nazca et Toro Muerto, nous évoquerons aujourd'hui une autre destination de cette même région du Pérou que nous avons visitée lors de notre voyage en 1976. Il s'agit de la ville d'Ica, située approximativement au milieu d'une ligne qui irait de Pisco / Paracas (où se trouve une autre énigme connue sous le nom de "Chandelier des Andes") à Nazca, non loin de l'océan Pacifique. C'est à Ica que le Dr Javier Cabrera Darquea avait rassemblé des milliers de pierres gravées semblant raconter une bien étrange histoire, qui, si elle est authentique, remet en cause bien des schémas de pensée, et bien au-delà...

C'est bien ce qui, déjà à l'époque de notre passage, lui avait valu bien des critiques et ennuis de la part d'une certaine archéologie officielle qui le traitait de faussaire, car bien évidemment ces motifs et dessins gravés ne collaient pas avec les thèses officielles de l'archéologie, il faut bien le reconnaître, et il ne pouvait donc s'agir que de faux, disaient ses détracteurs.

Eternelle querelle entre les "pontes du savoir", les "gardiens d'un dogme temporaire" et celui qui a eu l'outrecuidance de mettre en lumière quelque chose sortant du champ de compréhension connu et reconnu et qu'il convient d'expliciter... Et l'on pourrait citer, entre autres, dans un tout autre domaine, les fameux "crop-circles" ou agroglyphes, dont certains d'une sublime beauté. Et il est vrai que dans les deux cas, pour discréditer le phénomène, certains se sont laissés aller à susciter quelques faux, aux caractéristiques cependant discernables pour un connaisseur.   

Le Dr Cabrera regrettait que ces mêmes détracteurs refusent de venir étudier scientifiquement ces milliers de pierres en andésite, de tailles variables allant du gros galet au déjà imposant bloc rocheux, aux motifs quelquefois très raffinés, complexes, énigmatiques, bref surprenants.

Le Dr Javier Cabrera Darquea dans son bureau / photo 1976 webm. prana infos
 Le Dr Javier Cabrera Cabrera

Né en 1924 à Ica, à 300 kms au sud de Lima, le Dr Cabrera était une personnalité connue et reconnue d'Ica dans le domaine médical et culturel. Très actif sa vie durant, le 14 octobre 2001 il a reçu un hommage appuyé de ses concitoyens pour l'ensemble de son oeuvre. Il est décédé le 30 décembre 2001 après avoir consacré une grande partie de sa vie à l'étude des pierres connues sous le nom de "pierres gravées d'Ica", mais en réalité découvertes non loin de là, à Ocucaje.  

C'est donc dans un immeuble de la Plaza de Armas à Ica qu'il nous fut donné de le rencontrer et qu'il nous raconta comment il en vint à s'intéresser à ces étranges pierres qui d'après lui constituaient une espèce de bibliothèque relatant des scènes d'un lointain passé et d'une "autre humanité", du moins d'après nos souvenirs.

Il est clair que trente six ans plus tard nous sommes bien incapables de rapporter ses propos autrement que de façon générale, d'autant plus qu'à l'époque l'entretien eut lieu au moins partiellement en espagnol, limitant ainsi quelque peu la portée de notre échange.


 Une fois encore, n'ayant aucune compétence en la matière, nous nous contentons donc de simplement relater l'existence de ces mystérieuses pierres, en publiant quelques unes des photos prises en septembre 1976 et en nous inspirant de la source  principale pour tenter d'en donner une explication que nous espérons la plus fidèle possible à celle de leur "découvreur".

Nous nous référons donc au livre du Dr Cabrera : El mensaje de las piedras grabadas de Ica, paru en 1976 aux Editions Inti sol, que nous avons acquis en sortant de chez lui.


[A noter qu'il existe aussi un ouvrage de J.J. Benitez intitulé Existio otra humanidad , paru en 1975 en Espagne chez Plaza & Janes, ainsi qu'un livre en français  L'énigme des Andes , de Robert Charroux, paru en 1974 chez Robert Lafont].

En écoutant les explications du Dr Cabrera / photo 1976 webm prana infos

Une bibliothèque préhistorique ?

A l'époque nous avions eu connaissance de ces pierres à travers le livre de Robert Charroux, "L'énigme des Andes". Par ses différents ouvrages, cet auteur a sans doute fait un extraordinaire travail de défricheur, qui a contribué à bousculer bien des idées figées et à susciter l'intérêt de milliers de personnes pour des lieux et faits énigmatiques en France et dans le monde entier. Cependant il nous semble qu'inévitablement, à côté de faits réellement avérés et certaines intuitions vérifiées par la suite, sans doute emporté par sa fougue, il n'a pu éviter dans l'ensemble de ses écrits des approximations et thèses hasardeuses, ce qu'il convient de garder à l'esprit. Toujours est-il que lui parle de "Bibliothèque des Atlantes" à propos de ces pierres d'Ica ... 

Pour poser l'une des hypothèses, par commodité et n'ayant pas le temps de nous lancer dans une traduction des écrits du Dr Cabrera, nous empruntons un passage au livre de R. Charroux ( sans nécessairement y adhérer). Citant le Dr Cabrera :

"  [...] 
- Mes pierres, nous dit-il, proviennent de la civilisation des premiers hommes cultivés de notre Terre.

Pour une raison inconnue, peut-être un cataclysme naturel, cette civilisation disparut, mais les hommes de l'Ica ancien voulurent en laisser un témoignage indestructible ou du moins susceptible de traverser les périls du temps. Ou bien ces archives sont celles d'un peuple plus proche de nous, mais héritier direct des connaissances des grands ancêtres.
On peut logiquement penser que ces Ancêtres Supérieurs étaient les Atlantes, dont des ethnies rescapées auraient, après l'engloutissement de leur continent, opéré leur diaspora (dispersion) dans la région d'Ica, en y laissant en dépôt les pierres parlantes de mon musée.

C'est à tort que l'on date l'avènement de l'homo sapiens de deux ou trois millions d'années de nos temps. L'homme est beaucoup plus ancien qu'on ne le dit et il a certainement connu les grands monstres qui établissaient leur dictature sur le règne vivant de l'ère secondaire.

Je puis certifier que ces monstres : plésiosaures, diplodocus, iguanodons, etc, qui vivaient à la fin du secondaire, ont survécu au tertiaire jusqu'à une époque où les hommes les ont connus et ont engagé avec eux la lutte pour la suprématie sur le globe.

J'ai commencé à collectionner mes pierres en 1966, mais les premières furent trouvées dès 1961 par les huaqueros chercheurs de poteries."     (  Extrait de "L'énigme des Andes" de Robert Charroux )


Une des pierres particulières du Dr Cabrera
Le musée du Dr Cabrera contient des milliers de pierres, mais il en restait à priori encore beaucoup plus à découvrir dans des caches de la région.

Que peuvent bien signifier toutes ces scènes diverses, opérations chirurgicales, personnages, oiseaux, poissons, animaux préhistoriques ? 


Mappemonde de l'ère secondaire ? / photo 1976 webm. prana infos

Seraient représentées sur cette carte: la Lémurie (en haut à droite), l'Arabie (en haut, au centre), l'Australie (en bas, à droite) et l'Afrique (en bas, à gauche). 

 A noter que, si nous avons bien compris, il existerait également une mappemonde d'une autre planète... De même, seraient aussi représentées sur certaines pierres Jupiter, Vénus, des constellations, des comètes... 

Voici en vrac, quelques autres photos de ces "extraordinaires" et "impossibles" pierres :


Intervention chirurgicale: transplantation de coeur  / photo 1976 webm. prana infos
Intervention chirurgicale: greffe du cerveau ? / photo 1976 webm. prana infos

Intervention chirurgicale / photo 1976 webm. prana infos


Intervention chirurgicale / photo 1976 webm. prana infos
Un ensemble de petites pierres / photo 1976 webm. prana infos
Des thèmes de toute nature /  photo 1976 webm. prana infos


Des pierres à profusion, sur des étagères, sur le sol / photo 1976 webm. prana infos

On aura compris qu'avec de tels thèmes gravés et de telles interprétations, certains soient tentés de crier au faussaire. Pourtant, en raison de la quantité phénoménale de pierres, de toutes tailles, de la qualité des gravures, combien aurait-il fallu de faussaires ? combien d'années auraient-ils mis ? dans quel but ? 

Pour notre part, sans qualification ou compétence dans ce domaine, nous nous contentons de rapporter les faits, l'esprit ouvert, en souhaitant qu'une étude scientifique pluridisciplinaire puisse avoir lieu.

Par contre, pour avoir rencontré le Dr Cabrera l'espace de deux heures environ, nous n'hésitons pas à dire qu'à notre avis, ou plutôt à notre ressenti, c'était un homme très cultivé, parfaitement honnête et intègre.

C'était sans doute également le sentiment de nombreuses personnes, puisque l'éditeur Robert Laffont et Francis Mazière se sont également rendus sur place, de même que, semble-t'il, l'une ou l'autre tête couronnée ont eu un entretien avec le Dr Cabrera, parmi bien d'autres personnalités et visiteurs de marque. Et l'on apprend d'ailleurs sur le site du musée que la reine d'Espagne a reçu un de ces blocs rocheux d'Ica, qu'elle a entreposé en un lieu spécial à son Palacio de la Zarzuela à Madrid.De même pour la reine Silvia de Suède qui elle aussi le conserve au Palais royal de Stockholm. 



vendredi 1 mars 2013

Suisse : Le Dalai Lama à l'Université de Lausanne

A Lausanne:  Vivre et mourir en paix : Regards croisés sur la vieillesse

La journée d'échanges entre le Dalai Lama et les chercheurs de l'Université de Lausanne (UNIL) sera consacrée au vieillissement et à la mort. Lors de deux sessions, les scientifiques présenteront l'état de la recherche dans plusieurs domaines, ainsi que leurs interrogations. Le Dalai Lama s'exprimera sur ces travaux et ouvrira le dialogue.

A Fribourg : Conférence publique du Dalai Lama : L'éthique au-delà des religions

Les religions du monde partagent différentes définitions du mot "éthique".

Au-delà des religions, la notion d'éthique est aujourd'hui largement débattue et discutée à un moment où le monde change rapidement et où les valeurs de conduite morale et d'altruisme sont essentielles pour notre avenir et celui des générations futures. 

A Fribourg le 14 avril 2013