jeudi 28 février 2013

Conférence Alsace : La fraternité à portée de main

Nous répercutons une information qui nous est parvenue ce jour et qui pourra intéresser les résidents de l'Est de la France.


La fraternité à portée de main

Conférence par Luc GUILLORY


L'humanité traverse la crise spirituelle la plus profonde de son histoire.

L'ordre ancien issu de la compétition et de la division s'effondre, l'écosystème planétaire est à la dérive.

Nous sommes cependant à l'aube d'une transformation profonde de notre civilisation. Un groupe d'Hommes éclairés appelés Maîtres de Sagesse s'apprête à se faire connaître afin de nous indiquer comment bâtir une société fondée sur la justice, le partage et la coopération.

Ils nous enseigneront l'art de la réalisation du Soi afin d'établir de justes relations pour le bien et l'épanouissement de tous.

C'est à nous qu'il appartient de décider de notre avenir, mais l'émergence publique des Maîtres sur la scène mondiale est la garantie que la Fraternité est, pour la première fois, à portée de main.

Mardi 5 mars 2013   19 h 30 - 22 h  au Biodome 36 rue des Landes 68220 Hegenheim  

jeudi 21 février 2013

Extraterrestres au Pérou : preuves au Toro Muerto ?

Toro Muerto : des preuves archéologiques de visites extraterrestres ?

Se pourrait-il que sur une étendue désertique dénommée Toro Muerto et située dans la province de Castille du département d'Arequipa, au sud du Pérou, l'on trouve, parmi les milliers de gravures rupestres, des représentations de visiteurs extraterrestres ? Les faits semblent accréditer cette thèse et certains chercheurs plus intrépides et moins conformistes que d'autres en sont convaincus.

Pérou, terre d'énigmes

Dans le précédent post nous avions évoqué notre voyage au Pérou en 1976 et notre survol des énigmatiques lignes et dessins connus sous le nom de "pistes de Nazca". Dans le présent post, nous allons évoquer cet autre site, extraordinaire à différents points de vue, d'autant plus que le Toro Muerto pourrait être l'un des témoignages (parmi d'autres découverts entretemps, notamment en Inde) de la réalité du phénomène extraterrestre depuis des siècles.

Le webmestre tient cependant à préciser que lui-même n'a eu connaissance de ce site que peu après son voyage au Pérou en 1976 et qu'il n'a donc pas eu l'occasion de le visiter par lui-même. Cependant, en raison de circonstances particulières, il a pu donner toutes indications utiles à son épouse qui s'y est rendue en 1978 et à qui il doit ces quelques photos sélectionnées ici, parmi beaucoup d'autres. Ceci étant précisé par honnêteté intellectuelle et pour la remercier, car l'exercice n'était guère évident en ce temps-là, où même localement le site était très peu connu.   

C'est donc par le biais d'ouvrages d'un auteur sans doute injustement méconnu, en l'occurrence Christine Dequerlor, qu'il a pu être pris connaissance de ce site en ce qui nous concerne.

Qui était Christine Dequerlor ?

Elle est l'auteur d'au moins trois livres :
- Les oiseaux messagers des dieux , paru en 1975 aux Editions Albin Michel
- Ces dieux venus d'ailleurs, paru en 1977 aux Editions Albin Michel
- Les extra terrestres des Andes, paru en 1978 aux Editions Alain Lefeuvre



"De vieille souche bretonne, elle passe une grande partie de son enfance en Bolivie où elle est née. Elevée en contact permanent avec les Indiens, leurs belles légendes, coutumes et traditions resteront gravées dans sa mémoire, associées aux paysages grandioses des Andes.

Après avoir visité le Nord de l'Argentine jusqu'à Buenos Aires, elle reste avec ses parents en France, où elle fera ses études. Tout en poursuivant une carrière de professeur, elle se passionne pour l'étude des anciennes civilisations, particulièrement celles de l'Amérique précolombienne.

   
Conférencière, membre de plusieurs instituts et sociétés savantes, membre du Comité directeur des Recherches de l'Institut des Hautes Synthèses, elle a parcouru le monde, pris des milliers de notes, croquis et photographies. Aux frontières de l'Himalaya, elle rencontre des moines réfugiés du Tibet ayant fui devant l'occupation chinoise et des chamanes dont les étranges pouvoirs s'apparentent à ceux des sorciers des Amériques. Elle est reçue par le Karmapa, grand maître de la secte des Bonnets rouges dans son monastère de Rumtek et par le dalaï-lama au Pendjab.

Au Pérou, un Indien la conduit dans un site extraordinaire, où des milliers de rochers gravés portent LA PREUVE que des Extra-terrestres ont contacté des autochtones.

C'est grâce à ses voyages, sur les hauts lieux de la connaissance, grâce également à des études très approfondies sur les religions comparées, les écritures sacrées, les origines des mythes et légendes de tous les continents, que Christine Dequerlor a pu écrire le présent ouvrage."
Source : texte de présentation de l'auteur dans Ces dieux venus d'ailleurs.

Dans l'autre ouvrage consacré au Toro Muerto,il est indiqué que: "Peu portée de par sa formation à accepter d'emblée la possibilité de ces visiteurs insolites,  ce n'est qu'après quatre années de recherches approfondies que Christine Dequerlor livra ses travaux."  

Le cadre du Toro Muerto

Alors que lors d'un voyage au Pérou en 1970 elle visitait "en un vaste périple les centres archéologiques et initiatiques les plus célèbres des côtes du Pacifique et de la Cordillère des Andes", c'est fortuitement à la suite d'une panne de voiture, raconte l'auteur, qu'un Indien l'amène au Toro Muerto. Ce site se révèle  d'accès difficile, en raison de l'éloignement, du paysage inhospitalier, du silence absolu qui  règne dans ce cadre à la fois désertique et volcanique qui inspirait la crainte aux autochtones.

Des milliers de pétroglyphes se présentaient aux yeux de l'auteur, gravés à profusion sur les innombrables roches, certains ayant cependant déjà été détériorés. Parmi eux, des milliers de symboles magiques et cosmiques, difficiles de compréhension lorsque l'on est extérieur à la culture de ces anciens Péruviens qui avaient leur propre conception de l'Univers. C'est en ce sens que Christine Dequerlor, née en la voisine Bolivie, peut apporter sa compréhension et son éclairage de cette culture.  

Comme pour Nazca, nous ne ferons qu'évoquer rapidement le site, sachant que pour une étude approfondie il conviendrait de se reporter aux deux ouvrages ci-dessus.

Une symbolique propre à la culture des anciens Péruviens / photo oct. 1978 prana infos
Dessin C. Dequerlor



Sur les rochers sont représentés diverses scènes et différents types de personnages humains, ainsi que "d'astronautes tels que reproduits aux diverses époques, reconnaissables à leurs combinaisons collantes et à leurs casques volumineux."

Source: Christine Dequerlor ( Ces dieux venus d'ailleurs)
Dessins de Christine Dequerlor
Pour Christine Dequerlor, il ne fait absolument aucun doute que les auteurs des gravures ont été en contact avec des visiteurs extra terrestres, qui sont de différentes catégories. Elle s'en explique et étudie également le phénomène ovni à travers les âges et à l'époque contemporaine.

"Quantité de roches portaient des symboles mystérieux, des figures géométriques variées, des signes cosmiques, dont le Soleil sous différents aspects. Souvent tout cela se mêlait à un monde d'animaux fabuleux, mythiques ou réels.

De grandes compositions prenaient un sens magique et illustraient le culte rendu au dieu Félin, divinité primordiale des civilisations précolombiennes. De véritables tableaux représentaient la vie quotidienne d'un peuple de pasteurs avec ses troupeaux.

Ce qui me frappa le plus, dans ce prodigieux ensemble, furent des ETRES ENIGMATIQUES, admirablement dessinés, à la ressemblance de nos modernes cosmonautes, vêtus de combinaisons, coiffés de casques énormes. Ils étaient partout, semblaient voler, descendre du ciel. Isolés ou groupés, ils occupaient la totalité des grandes dalles, fréquemment ils participaient à des scènes pastorales. Dans celles d'offrandes, ils dominaient des personnages aux bras tendus vers eux. Innombrables, leur fréquence insolite montrait immédiatement leur importance.

Ces hommes casqués rappellent ceux, rares, gravés au Val Cammonica en Italie, reproduits si souvent, justement parce qu'ils évoquent des cosmonautes. Ici, ils sont des milliers, qui apportent enfin LA PREUVE que des VISITEURS VENUS DE L'ESPACE ont été vus par des Indiens, qui ne pouvaient inventer de tels costumes. A quelle époque ?

Une datation officielle fournit la réponse. Les missions archéologiques qui se rendirent sur les lieux donnèrent aux gravures une ancienneté de 1000 ans environ. [...] "

Extrait de Ces dieux venus d'ailleurs, de Christine Dequerlor (Ed. Albin Michel)

Comme bon nombre de photos figurent (en noir et blanc) dans les deux ouvrages cités ci-dessus, nous publions nos propres photos avec l'interprétation que leur donne C. Dequerlor dans son livre "Les extra terrestres des Andes" (Ed. Alain Lefeuvre), sauf mention contraire.

A noter l'interprétation reprise au bas de la photo ci-dessous représentant un extraterrestre et son vaisseau, et plus spécialement la nuance entre les différents personnages venus d'ailleurs.   

Toro Muerto : extraterrestre et son Vaisseau  / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor : 
"Un des grands et beaux cosmonautes extra-terrestres. Parfaitement structuré, vêtu d'une combinaison collante, les chaussures sont même indiquées. Son casque à double paroi brille au soleil, il évoque les personnages des livres sacrés nommés les "lumineux, les Etincelants, les Seigneurs de lumière".
Il sort visiblement de son appareil, accueilli comme un dieu bienfaisant par les Indiens dessinés, petits, filiformes, accompagnés du sorcier emplumé. Tous accourent, bras ouverts, à sa rencontre. Leur facture très différente des "visiteurs" ne permettra jamais qu'on les confonde."


Toro Muerto : Vaisseau extraterrestre ? / photo octobre 1978 prana infos
Précision préalable du webmestre : Sur la gauche de la fissure de ce rocher, parmi d'autres dessins, figure une représentation d'un "objet" identique muni de ce que l'on pourrait considérer comme des hublots. Cette partie du rocher n'est qu'en partie et mal visible sur la photo ci-dessus, mais est bien visible sur la photo de l'auteur dans son livre.


Interprétation de C. Dequerlor :
"Sur cette dalle, les engins sont représentés vus de l'extérieur, de profil, avec ou sans hublot et l'intérieur en coupe"      [ source: Les extra terrestres des Andes]

"Intérieur d'un engin qui paraît en contenir de petits avec pieds. Au-dessous et à gauche, le même vu de l'extérieur." [source : Ces dieux venus d'ailleurs]


Toro Muerto : personnages casqués / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor :
"Très finement gravés, des personnages casqués s'alignent près des habituels symboles d'ascension: piliers verticaux, étoiles, éclairs.
Entre eux, admirablement tracés, traits et points ne sont pas là pour décorer, mais parler, servir de légende; ils s'apparentent à des formes d'écritures anciennes et modernes. Au-dessus, le lama céleste ou constellation.
Au second plan, effets du vandalisme, les roches sont éclatées, écrasées, pour en détruire les dessins."   
Toro Muerto : cosmonautes ?  / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor :
"Autre type de grand cosmonaute au casque à antennes et longue combinaison, près d'un des "Petits", admirablement proportionnés, de beaucoup les plus nombreux." 

Toro Muerto : personnages et symboles / photo octobre 1978 prana infos

Précision préalable du webmestre : sur le côté à droite de la scène ci-dessus, figurent d'autres représentations non visibles sur la photo ci-dessus, notamment un condor.

 Interprétation de C. Dequerlor :
"Importante roche: sur l'une de ses faces, condor et serpent s'élèvent vers le ciel; sur l'autre, petits personnages près de l'éclair."

Nous arrêterons là cette rapide évocation qu'il conviendrait d'approfondir à travers les ouvrages de l'auteur. Alors, des visites extra-terrestres depuis des millénaires, une réalité qu'il faudra prendre en compte ?  Et si Christine Dequerlor avait raison ?

mardi 12 février 2013

Pérou : les mystérieuses pistes de Nazca

Pérou, terre d'énigmes

De nombreuses personnes pressentent que notre conception et vision du monde telle qu'elle est encore largement acceptée actuellement est à la veille de connaître de profonds bouleversements. D'innombrables énigmes se trouvent disséminées de par le monde (ainsi que, plus largement, dans le cosmos) , et le Pérou est assurément une de ces contrées de notre planète qui nous interpelle par bien des aspects.

C'est bien ce qui nous a poussé en 1976 à effectuer un voyage à la fois en Bolivie, surtout pour la visite de la mystérieuse cité de Tiahuanaco, mais essentiellement au Pérou où l'on cherche toujours des réponses à la présence d'impressionnants monolithes et à des sites comme Sachshuaman, Machu Picchu, Nazca, Occucaje / Ica , pour ne parler que de ceux-là.

C'est pourquoi, avant fin mars prochain, nous prévoyons de consacrer deux autres posts à des énigmes péruviennes, plus en tant que sensibilisation à l'existence de ces mystères qu'une explication reconnue et acceptée qu'on cherche d'ailleurs toujours, malgré les diverses hypothèses en présence.

Comme le dit Maria Reiche dans l'introduction de son livre trilingue "Geheimnis der Wüste"- "Mystery on the desert"-, "Secreto de la pampa", paru en 1968, le Pérou est sans doute le pays le plus intéressant d'Amérique du Sud, à la fois pour ses constructions cyclopéennes, pour la survivance d'anciennes langues et coutumes, etc...  

"Le Pérou est connu comme le pays des Incas. Cependant le règne des Incas ne fut que le dernier stade d'un long développement culturel dont les origines remontent au second millénaire avant J.C." y explique-t-elle.



Les pistes de Nazca

A vrai dire, à notre connaissance, n'existait en 1976 que peu de documentation sur les "pistes" de Nazca. Outre peut-être des articles dans les revues Kadath ou Atlantis, n'existaient guère en français qu'un livre de Robert Charroux, paru en 1974, et un livre plus généraliste d'Alban Vistel qui y consacre une page dans "L'Homme des Andes" paru en 1976.

 En 1977 s'y rajouta un livre très documenté de Simone Waisbard , intitulé "Les pistes de Nazca" (Editions Robert Laffont). Il ne fallait donc guère s'étonner que ces étranges lignes et figures soient demeurées inconnues du public jusque vers 1980 où des tour-opérators français connus ont commencé à intégrer le site de Nazca dans leurs circuits au Pérou.  




A noter qu'en 1994, les géoglyphes de Nazca ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Voici d'ailleurs la description brève qu'en donne le site de l'UNESCO [à présentation forcément prudente] :

"Situés dans la plaine côtière aride du Pérou à quelque 400 km au sud de Lima, les géoglyphes de Nazca et de Pampas de Jumana couvrent entièrement 450 km². Ces lignes tracées dans le sol entre 500 av. J.-C. et 500 après J.-C. , soulèvent une des grandes énigmes de l'archéologie en raison de leur quantité, de leur nature, de leur taille et de leur continuité. Certains de ces géoglyphes représentent des créatures vivantes, d'autres des végétaux stylisés ou des êtres fantastiques, d'autres encore des figures géométriques de plusieurs kilomètres de long. On suppose qu'ils auraient eu une fonction rituelle liée à l'astronomie." 

Source : http://whc.unesco.org/fr/list/700/

Vue d'avion: oiseau dont le bec finirait sur une ligne indiquant le soleil levant le 21 décembre / photo (1976) prana infos
Motifs de dessins relevés par Maria Reiche
Motifs de dessins relevés par Maria Reiche
                                                                                                                             
Quelques motifs relevés par Maria Reiche / Source : Geheimnis der Wüste (1968)

Genèse de la découverte des "pistes" de Nazca (tentative de synthèse)

Avant 1926 : D'après Simone Waisbard, ces "dessins" furent très succinctement mentionnés au 16e siècle par Cieza de Léon, l'un des chroniqueurs espagnols les plus réputés de la Conquête du Pérou incaïque. On trouve également trace en 1586 d'un rapport du Corregidor Luis de Monzon au vice-roi Toledo, qui pourrait évoquer ces pistes de Nazca.

1926 : L'archéologue péruvien Mejia Xesspe découvre les géoglyphes. Treize ans plus tard, il rend publique sa théorie selon laquelle les lignes pourraient constituer des routes à usage religio-cerémoniel.

1927 : Au cours de recherches dans la vallée du rio Grande, Julio-César Tello, le célèbre "père" de l'archéologie péruvienne, fut intrigué par la phrase sibylline de Cieza de Leon et mit ainsi Paul Kosok sur la voie de la "découverte" des glyphes. 

1930 : George E. Johnson précéda Kosok dans les airs de Nazca. Idem, ensuite, pour le commandant Péri, en hélicoptère.

1939 :  Le 22 juin 1939, par une heureuse coïncidence, l'astronome américain Paul Kosok, spécialiste en paléo-irrigation, mandaté par l'Université de Long Island pour étudier les ouvrages hydrauliques des anciens Péruviens, survole le site et distingue "sur l'un des déserts les plus secs du monde", la monumentale cryptographie des Nazcas. Et c'est avec lui que naît officiellement "la plus inexplicable énigme archéologique de tous les temps !"

1946 :  Maria Reiche, diplômée en mathématiques (pour une thèse sur les groupes algébriques) et en astronomie, qui a eu la chance de rencontrer quelque temps auparavant le Dr Jullio Tello, grand archéologue péruvien, débute ses travaux sur le plateau . Elle est également persuadée de la finalité astronomique du site et pense y voir la structure d'un immense calendrier. Ceci pourrait correspondre avec des chroniques espagnoles du 16e siècle, selon lesquelles les Péruviens devaient être en possession d'un calendrier créé d'après des observations très précises du ciel.

1954 : Simone Waisbard, américaniste, ultérieurement également membre de la Société Géographique de Lima et ultérieurement aidée par d'éminents archéologues péruviens dans ses travaux, s'installe au Pérou et prend connaissance de ces "pistes", auxquelles elle consacrera plus tard un livre.    

Source principale :  Les pistes de Nazca, de Simone Waisbard

Nazca : Vue d'avion d'une "piste" / photo webm. prana infos (1976)


Nazca, vue d'avion : lignes et dessins , un extraordinaire rébus  / photo (1976) webm. prana infos

Par qui ? pourquoi ? et comment ?

C'est à ces questions que se propose d'essayer de donner des réponses le livre de Simone Waisbard. Reprenons un passage de sa quatrième de couverture:

"Que sait-on de ces fameux "dessins" qui couvrent 500 kilomètres carrés de pampas désertiques du Sud Péruvien ? Brodées "en pointillé" sur des sables lunaires avec des cailloux oxydés, que signifient ces étranges lignes démesurées, ces gigantesques pistes géométriques et ces immenses figures stylisées d'oiseaux, d'animaux, de plantes et de dieux ? Ne peut-on les comprendre que du ciel ? Sont-ils alors l'oeuvre symbolique des mystérieux "Hommes-Volants" qui planent sur les "mantos" d'apparat des 429 princes momifiés de Paracas ? Les schémas chorégraphiques d'un culte érotique de la fertilité ? Les observatoires d'un zodiaque magico-religieux pour programmer l'avenir ? ... "   


Vue d'avion.   Des signes destinés à être vus d'en haut ?  / photo (1976) webm. prana infos
Nazca : le singe avec une main à quatre doigts et la queue enroulée à l'envers / photo 1976 webm. prana infos 
Monkey geoglyphs on Nazca planes - Photo 16 mai 2008 par Markus Leupold-Löwenthal  - Licence Creative Commons

Quelques extraits du livre de Simone Waisbard :

"  [...] Tout y est défi à notre entendement ...Que d'innombrables siècles se soient écoulés sans effacer les bizarres marques des sables ... Qu'un ancien peuple soit parvenu à étirer sur des terrains irréguliers, sans instruments de précision, des dizaines de kilomètres de lignes rigoureusement rectilignes... Que d'antiques prêtres-astronomes aient réussi à calquer sur le sol, à des dimensions colossales, les totems stellaires que leur inspira la patiente contemplation du ciel... Que privés de moyens mécaniques et d'engins aériens, ils aient pu et su comme voir d'en haut la monumentale "tapisserie" de pierres mathématiquement alignées...

Et parlant des autres réalisations de la civilisation des Nazcas :

" Et ce leitmotiv obsédant d'Hommes volants, planant à l'horizontale, entourés de serpentins qui flottent autour d'eux, ou la tête en bas, comme tombant "en piqué" des nues, brodés sur les somptueux vêtements des momies ? "

Quel sens donner à ces lignes se déroulant sur des kilomètres sur des terrains irréguliers, voisinant avec diverses représentations stylisées, notamment d'oiseaux et d'animaux ? Quelle ancienneté donner à ce que l'auteur qualifie d'incroyable "codex" des sables ?  Deux mille ans ? trois mille ans ? ou plus ?

Pourquoi cette étonnante couleur du sol qui peut surprendre à la vue des photos ? Les pierres de surface riches en oxyde de fer ont été au fil du temps fragmentées et désagrégées par les éléments en morceaux de 5 à 10 cms, donnant "aux pampas de Nazca une patine marron, tirant par endroits, sur le rouge ou le violet, tout à fait caractéristique".

"L'un des seuls points sur lequel tous les archéologues sont d'accord avec Paul Kosok, est le système employé pour faire les marques de Nazca par raspaje, c'est à dire, raclage pu plus exactement, déblaiement et nettoyage du sol. Les cailloux noircis par leur exposition à l'air, furent repoussés et entassés sur les côtés afin de mettre à nu, entre les deux bords, le terrain ocré plus clair et obtenir par contraste, des lignes facilement visibles. Ce qui représente, on s'en doute, des prouesses topographiques inouies ! Et une patience mystique pour balayer d'aussi vastes surfaces de désert !

"Jamais de pluie, jamais d'orage, jamais de tempête, tels sont les facteurs uniques au monde qui épargnèrent et assurèrent la pérennité millénaire des fameux "dessins" ! "

Le décor : désert, oui mais à préciser ceci :

" Ce décor est celui d'un véritable reg désolé, avec des dunes géantes et mouvantes qui le bornent au lointain, d'énormes "croissants" de sable blanc qui coupent parfois dangereusement la route, des lits de rocaille parsemée d'ossements de mastodonte à peine enfouis...

Pas la moindre apparence de végétation ni de vie, un désert mort comme la lune, sur une largeur de quarante à cinquante kilomètres, depuis les dernières vagues grondantes du Pacifique. Mais cela, seulement jusqu'à la rencontre du rio Nazca et de ses affluents. C'est là ce qu'oublient de dire ceux qui parlent des énigmes de Nazca ! Là le paysage change à vue, aussi brutalement qu'un décor sur la scène d'un théâtre. Coupé au fil, le désert cesse, contenu, limité par une longue, féconde et verte vallée parallèle, soigneusement cultivée depuis des milliers d'années."   

Source de ces citations et extraits : Les pistes de Nazca, de Simone Waisbard.

Le mystère demeure

De multiples hypothèses ont été avancées, certaines cocasses, d'autres tournées vers les extraterrestres, puisque certains ont cru y voir des pistes d'atterrissage, mais il serait fastidieux de les reprendre ici, tellement elles sont diverses. Beaucoup d'entre elles tournent autour de considérations astronomiques, mais on peut dire sans trop se tromper que le mystère demeure entier à ce jour. 

Si ce ne sont probablement pas des pistes d'atterrissage pour visiteurs de l'espace, il n'est cependant pas impossible que ces "lignes, pistes et dessins" puissent avoir un certain rapport avec des visiteurs venus d'ailleurs, nos "Frères de l'espace", comme semble le suggérer un autre site du Pérou que nous évoquerons sous peu. 

Quoiqu'il en soit, pour ceux qui auront eu l'occasion de survoler le site, un moment inoubliable, que peut remémorer des années plus tard le certificat de vol délivré par la compagnie opérant les vols sur place, comme celui qui nous fut attribué en ce 15 septembre 1976.




samedi 2 février 2013

A Marseille: 2èmes Rencontres Internationales sur les EMI

9 et 10 mars 2013 : 2èmes Rencontres Internationales sur les Expériences de Mort Imminente

Une information sur un sujet abordé sur ce blog et qui  intéressera tous ceux que l' "après-vie" intrigue ou passionne, car un événement important se prépare à nouveau du côté de Marseille. 

En effet, à l'initiative de Sonia Barkallah avaient eu lieu en juin 2006, en présence de près de 2000 personnes, les Rencontres de Martigues, consacrées aux expériences de mort imminente. Elles avaient permis de faire le point, en présence de nombreux scientifiques, sur les avancées de la recherche concernant un phénomène qui passionne des millions de personnes dans le monde.

Sonia Barkallah  / photo S17 Production

Egalement fondatrice de la société S17 Production et réalisatrice du film Faux Départ, Sonia Barkallah récidive et organise ces "2èmes Rencontres Internationales sur les Expériences de Mort Imminente" qui se dérouleront à Marseille le 9 et 10 mars 2013. 

vendredi 1 février 2013

Raymond Moody et Sonia Barkallah à Lille et Bruxelles

Le Dr Raymond Moddy à Lille le 12 mars 2013 et à Bruxelles, en Belgique, le 16 mars 2013

Nous reprenons une information qui intéressera au plus haut point tous ceux qui s'intéressent à l' "après-vie " et aux E.M.I . (Expériences de Mort Imminente).

A Lille

Le Dr Raymond Moody, auteur de La Vie après la Vie, participera à une conférence-débat le mardi 12 mars 2013 au Grand Palais de Lille, aux côtés de Sonia Barkallah (S17 Production), réalisatrice du film documentaire "Faux Départ".

Le Dr Moody proposera une conférence  sur "les visions des mourants" et les "Expériences de Mort Imminente (EMI) partagées", puis répondra aux questions de l'assistance.

A Bruxelles

 Le 16 mars 2013, S17 Production et l'association Tetra ASBL organisent une conférence sur le thème : "Les Expériences de Mort Imminente : un Faux Départ ? " avec le Dr Raymond Moody et Sonia Barkallah, initiatrice et organisatrice du colloque sur les EMI du 17 juin 2006 à Martigues.

Lieu :  UCL -Auditoire Lacroix   Avenue Mounier 51  1200 Bruxelles