jeudi 21 février 2013

Extraterrestres au Pérou : preuves au Toro Muerto ?

Toro Muerto : des preuves archéologiques de visites extraterrestres ?

Se pourrait-il que sur une étendue désertique dénommée Toro Muerto et située dans la province de Castille du département d'Arequipa, au sud du Pérou, l'on trouve, parmi les milliers de gravures rupestres, des représentations de visiteurs extraterrestres ? Les faits semblent accréditer cette thèse et certains chercheurs plus intrépides et moins conformistes que d'autres en sont convaincus.

Pérou, terre d'énigmes

Dans le précédent post nous avions évoqué notre voyage au Pérou en 1976 et notre survol des énigmatiques lignes et dessins connus sous le nom de "pistes de Nazca". Dans le présent post, nous allons évoquer cet autre site, extraordinaire à différents points de vue, d'autant plus que le Toro Muerto pourrait être l'un des témoignages (parmi d'autres découverts entretemps, notamment en Inde) de la réalité du phénomène extraterrestre depuis des siècles.

Le webmestre tient cependant à préciser que lui-même n'a eu connaissance de ce site que peu après son voyage au Pérou en 1976 et qu'il n'a donc pas eu l'occasion de le visiter par lui-même. Cependant, en raison de circonstances particulières, il a pu donner toutes indications utiles à son épouse qui s'y est rendue en 1978 et à qui il doit ces quelques photos sélectionnées ici, parmi beaucoup d'autres. Ceci étant précisé par honnêteté intellectuelle et pour la remercier, car l'exercice n'était guère évident en ce temps-là, où même localement le site était très peu connu.   

C'est donc par le biais d'ouvrages d'un auteur sans doute injustement méconnu, en l'occurrence Christine Dequerlor, qu'il a pu être pris connaissance de ce site en ce qui nous concerne.

Qui était Christine Dequerlor ?

Elle est l'auteur d'au moins trois livres :
- Les oiseaux messagers des dieux , paru en 1975 aux Editions Albin Michel
- Ces dieux venus d'ailleurs, paru en 1977 aux Editions Albin Michel
- Les extra terrestres des Andes, paru en 1978 aux Editions Alain Lefeuvre



"De vieille souche bretonne, elle passe une grande partie de son enfance en Bolivie où elle est née. Elevée en contact permanent avec les Indiens, leurs belles légendes, coutumes et traditions resteront gravées dans sa mémoire, associées aux paysages grandioses des Andes.

Après avoir visité le Nord de l'Argentine jusqu'à Buenos Aires, elle reste avec ses parents en France, où elle fera ses études. Tout en poursuivant une carrière de professeur, elle se passionne pour l'étude des anciennes civilisations, particulièrement celles de l'Amérique précolombienne.

   
Conférencière, membre de plusieurs instituts et sociétés savantes, membre du Comité directeur des Recherches de l'Institut des Hautes Synthèses, elle a parcouru le monde, pris des milliers de notes, croquis et photographies. Aux frontières de l'Himalaya, elle rencontre des moines réfugiés du Tibet ayant fui devant l'occupation chinoise et des chamanes dont les étranges pouvoirs s'apparentent à ceux des sorciers des Amériques. Elle est reçue par le Karmapa, grand maître de la secte des Bonnets rouges dans son monastère de Rumtek et par le dalaï-lama au Pendjab.

Au Pérou, un Indien la conduit dans un site extraordinaire, où des milliers de rochers gravés portent LA PREUVE que des Extra-terrestres ont contacté des autochtones.

C'est grâce à ses voyages, sur les hauts lieux de la connaissance, grâce également à des études très approfondies sur les religions comparées, les écritures sacrées, les origines des mythes et légendes de tous les continents, que Christine Dequerlor a pu écrire le présent ouvrage."
Source : texte de présentation de l'auteur dans Ces dieux venus d'ailleurs.

Dans l'autre ouvrage consacré au Toro Muerto,il est indiqué que: "Peu portée de par sa formation à accepter d'emblée la possibilité de ces visiteurs insolites,  ce n'est qu'après quatre années de recherches approfondies que Christine Dequerlor livra ses travaux."  

Le cadre du Toro Muerto

Alors que lors d'un voyage au Pérou en 1970 elle visitait "en un vaste périple les centres archéologiques et initiatiques les plus célèbres des côtes du Pacifique et de la Cordillère des Andes", c'est fortuitement à la suite d'une panne de voiture, raconte l'auteur, qu'un Indien l'amène au Toro Muerto. Ce site se révèle  d'accès difficile, en raison de l'éloignement, du paysage inhospitalier, du silence absolu qui  règne dans ce cadre à la fois désertique et volcanique qui inspirait la crainte aux autochtones.

Des milliers de pétroglyphes se présentaient aux yeux de l'auteur, gravés à profusion sur les innombrables roches, certains ayant cependant déjà été détériorés. Parmi eux, des milliers de symboles magiques et cosmiques, difficiles de compréhension lorsque l'on est extérieur à la culture de ces anciens Péruviens qui avaient leur propre conception de l'Univers. C'est en ce sens que Christine Dequerlor, née en la voisine Bolivie, peut apporter sa compréhension et son éclairage de cette culture.  

Comme pour Nazca, nous ne ferons qu'évoquer rapidement le site, sachant que pour une étude approfondie il conviendrait de se reporter aux deux ouvrages ci-dessus.

Une symbolique propre à la culture des anciens Péruviens / photo oct. 1978 prana infos
Dessin C. Dequerlor



Sur les rochers sont représentés diverses scènes et différents types de personnages humains, ainsi que "d'astronautes tels que reproduits aux diverses époques, reconnaissables à leurs combinaisons collantes et à leurs casques volumineux."

Source: Christine Dequerlor ( Ces dieux venus d'ailleurs)
Dessins de Christine Dequerlor
Pour Christine Dequerlor, il ne fait absolument aucun doute que les auteurs des gravures ont été en contact avec des visiteurs extra terrestres, qui sont de différentes catégories. Elle s'en explique et étudie également le phénomène ovni à travers les âges et à l'époque contemporaine.

"Quantité de roches portaient des symboles mystérieux, des figures géométriques variées, des signes cosmiques, dont le Soleil sous différents aspects. Souvent tout cela se mêlait à un monde d'animaux fabuleux, mythiques ou réels.

De grandes compositions prenaient un sens magique et illustraient le culte rendu au dieu Félin, divinité primordiale des civilisations précolombiennes. De véritables tableaux représentaient la vie quotidienne d'un peuple de pasteurs avec ses troupeaux.

Ce qui me frappa le plus, dans ce prodigieux ensemble, furent des ETRES ENIGMATIQUES, admirablement dessinés, à la ressemblance de nos modernes cosmonautes, vêtus de combinaisons, coiffés de casques énormes. Ils étaient partout, semblaient voler, descendre du ciel. Isolés ou groupés, ils occupaient la totalité des grandes dalles, fréquemment ils participaient à des scènes pastorales. Dans celles d'offrandes, ils dominaient des personnages aux bras tendus vers eux. Innombrables, leur fréquence insolite montrait immédiatement leur importance.

Ces hommes casqués rappellent ceux, rares, gravés au Val Cammonica en Italie, reproduits si souvent, justement parce qu'ils évoquent des cosmonautes. Ici, ils sont des milliers, qui apportent enfin LA PREUVE que des VISITEURS VENUS DE L'ESPACE ont été vus par des Indiens, qui ne pouvaient inventer de tels costumes. A quelle époque ?

Une datation officielle fournit la réponse. Les missions archéologiques qui se rendirent sur les lieux donnèrent aux gravures une ancienneté de 1000 ans environ. [...] "

Extrait de Ces dieux venus d'ailleurs, de Christine Dequerlor (Ed. Albin Michel)

Comme bon nombre de photos figurent (en noir et blanc) dans les deux ouvrages cités ci-dessus, nous publions nos propres photos avec l'interprétation que leur donne C. Dequerlor dans son livre "Les extra terrestres des Andes" (Ed. Alain Lefeuvre), sauf mention contraire.

A noter l'interprétation reprise au bas de la photo ci-dessous représentant un extraterrestre et son vaisseau, et plus spécialement la nuance entre les différents personnages venus d'ailleurs.   

Toro Muerto : extraterrestre et son Vaisseau  / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor : 
"Un des grands et beaux cosmonautes extra-terrestres. Parfaitement structuré, vêtu d'une combinaison collante, les chaussures sont même indiquées. Son casque à double paroi brille au soleil, il évoque les personnages des livres sacrés nommés les "lumineux, les Etincelants, les Seigneurs de lumière".
Il sort visiblement de son appareil, accueilli comme un dieu bienfaisant par les Indiens dessinés, petits, filiformes, accompagnés du sorcier emplumé. Tous accourent, bras ouverts, à sa rencontre. Leur facture très différente des "visiteurs" ne permettra jamais qu'on les confonde."


Toro Muerto : Vaisseau extraterrestre ? / photo octobre 1978 prana infos
Précision préalable du webmestre : Sur la gauche de la fissure de ce rocher, parmi d'autres dessins, figure une représentation d'un "objet" identique muni de ce que l'on pourrait considérer comme des hublots. Cette partie du rocher n'est qu'en partie et mal visible sur la photo ci-dessus, mais est bien visible sur la photo de l'auteur dans son livre.


Interprétation de C. Dequerlor :
"Sur cette dalle, les engins sont représentés vus de l'extérieur, de profil, avec ou sans hublot et l'intérieur en coupe"      [ source: Les extra terrestres des Andes]

"Intérieur d'un engin qui paraît en contenir de petits avec pieds. Au-dessous et à gauche, le même vu de l'extérieur." [source : Ces dieux venus d'ailleurs]


Toro Muerto : personnages casqués / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor :
"Très finement gravés, des personnages casqués s'alignent près des habituels symboles d'ascension: piliers verticaux, étoiles, éclairs.
Entre eux, admirablement tracés, traits et points ne sont pas là pour décorer, mais parler, servir de légende; ils s'apparentent à des formes d'écritures anciennes et modernes. Au-dessus, le lama céleste ou constellation.
Au second plan, effets du vandalisme, les roches sont éclatées, écrasées, pour en détruire les dessins."   
Toro Muerto : cosmonautes ?  / photo octobre 1978 prana infos
Interprétation de C. Dequerlor :
"Autre type de grand cosmonaute au casque à antennes et longue combinaison, près d'un des "Petits", admirablement proportionnés, de beaucoup les plus nombreux." 

Toro Muerto : personnages et symboles / photo octobre 1978 prana infos

Précision préalable du webmestre : sur le côté à droite de la scène ci-dessus, figurent d'autres représentations non visibles sur la photo ci-dessus, notamment un condor.

 Interprétation de C. Dequerlor :
"Importante roche: sur l'une de ses faces, condor et serpent s'élèvent vers le ciel; sur l'autre, petits personnages près de l'éclair."

Nous arrêterons là cette rapide évocation qu'il conviendrait d'approfondir à travers les ouvrages de l'auteur. Alors, des visites extra-terrestres depuis des millénaires, une réalité qu'il faudra prendre en compte ?  Et si Christine Dequerlor avait raison ?