vendredi 23 mars 2012

Point de vue d'un Maître de Sagesse sur la situation actuelle

Comme on aura déjà pu le lire sur ce blog, Benjamin Creme dispose d'un lien télépathique permanent avec l'un des Maîtres de Sagesse, ce qui lui permet d'avoir accès à des informations exceptionnelles. Ce Maître de Sagesse lui transmet également un message, généralement un point de vue, qui est publié chaque mois dans la revue Partage International. L'un des plus récents messages traitant justement du contexte économico-financier du monde ( thème qui nous intéresse particulièrement sur ce blog ),  il nous a donc paru judicieux de publier le point de vue de ce Maître de Sagesse sur la situation actuelle, message transmis par l'entremise de Benjamin Creme le 9 octobre 2011 et publié tel quel dans la revue Partage International no 279 de novembre 2011. Il est intitulé : "La promesse de Maitreya".

Rappelons également pour ceux qui tomberaient sur ce post sans avoir préalablement entendu parler des Maîtres de Sagesse, que ce sont des femmes et des hommes qui nous ont précédés sur le chemin de l'évolution (voir le post consacré au "processus de l'évolution") et qui ont donc connu, traversé et surmonté toutes les vicissitudes que nous rencontrons tous dans nos vies, à un moment ou un autre. Ceux qui ont atteint cet état de "maîtrise", ces Maîtres donc, se trouvent juste au-dessus du règne humain. Compte-tenu des caractéristiques particulières de l'époque actuelle, ils s'apprêtent désormais à émerger publiquement et à nous apporter leur aide, dans la mesure où l'humanité est  prête à accepter leurs conseils, notre libre-arbitre étant sacro-saint à leurs yeux. Ils n'ont rien de "religieux", et si tout le monde connaît sans doute au moins le nom de l'un des Maîtres de Sagesse, le plus avancé d'entre eux, celui que les différentes traditions attendent sous des noms différents, se nomme Maitreya. 

La promesse de Maitreya

Alors que beaucoup de gens continuent de croire que les systèmes bancaire et boursier actuels sont nécessaires et immuables, beaucoup d'autres sont amenés à penser qu'ils sont obsolètes et doivent être remplacés au plus tôt. Trop nombreux sont ceux qui subissent les effets d'une cupidité débridée, et éprouvent la nécessité d'une justice et d'une équité plus grandes pour survivre à ce qu'on appelle avec désinvolture "le climat économique actuel".

Avant l'effondrement boursier de 2008, au moins dans les pays développés, l'abondance régnait. Les gens avaient du travail et un logement. Il naissait de nouveaux millionnaires chaque jour. Sous d'autres climats, bien sûr, quantité de gens vivaient dans l'indigence, quand ils ne mouraient pas de faim; mais, au moins pour certains, l'argent ne manquait pas et la vie était douce.

Un tour de passe-passe

Où est passé tout cet argent ? Qu'est-il devenu ? Aujourd'hui il n'y a plus de travail, et l'argent a disparu - on l'a mis dans les banques et il a disparu. Les millionnaires se sont mués en milliardaires. Tout ça est plutôt déconcertant : la moitié du monde semble avoir été victime d'un tour de passe-passe, d'une imposture. Reviendrons-nous aux habitudes du bon vieux temps ? Voulons-nous vraiment revenir à une époque où les riches doublaient leurs avoirs du jour au lendemain tandis que les pauvres ramassaient les miettes du festin ?

Le vent du changement

Partout frémit le vent du changement, et les peuples l'appellent à voix haute. Ils découvrent aussi leur capacité à agir, et beaucoup meurent pour la prouver. Ils sentent que les vieux schémas ont fait leur temps, et sont désormais inopérants. Ils sentent qu'il existe d'autres façons de vivre, et anticipent un avenir meilleur. En vérité, des modèles voués à disparaître entravent la progression de l'humanité.

La roue tourne, et la puissante Rome tombe à nouveau. Le feu de Maitreya stimule le coeur de ceux, innombrables, qui sont sensibles à son influence et brûlent du désir de pouvoir construire un monde où règneront justice et harmonie. Maitreya nous promet que ce monde nouveau ne tardera pas à voir le jour.   

Source : Revue Partage International no 279 - Novembre 2011