samedi 2 juillet 2011

Le péril invisible : Point de vue de l'un des Maîtres de Sagesse

Voilà donc, ci-dessous, le point de vue de l'un des Maîtres de Sagesse sur le nucléaire.

Qui sont les Maîtres de Sagesse ? Ce terme commence à être connu, mais malheureusement également à être utilisé à mauvais escient par certains disciples qui l'attribuent à tort et à travers à tel ou tel enseignant spirituel de leur propre voie qu'ils affectionnent, générant ainsi une certaine confusion sur son sens. N'est cependant pas (encore) Maître de Sagesse qui veut, pourrait on dire, même si  cet état de conscience constitue la finalité, le point de passage obligé pour chacun d'entre nous dans le cadre de notre évolution. Les  adeptes de certaines écoles ésotériques, ainsi que les lecteurs des ouvrages de Mme Blavatsky, d'Alice Bailey ou de Benjamin Creme n'ignorent pas ce que l'on entend par ce terme. Bien des groupes gravitant autour des thèmes du nouvel âge y font également référence, à leur façon. Tout le monde connaît d'ailleurs au moins le nom de l'un d'entre eux. Ces Maîtres sont au-delà de nos petites divisions humaines et de nos conceptions séparatistes qu'ils ont définitivement délaissées, et ne travaillent plus que pour et dans le cadre de l'Unité. Nous y reviendrons, notamment par le détour de certains faits d'actualité qui passent inaperçus ou que généralement nous ne relions pas les uns aux autres... Mais pour l'heure où le débat sur le nucléaire est très présent, il peut être utile de méditer ce qu'en pense un être très avancé issu de la famille humaine.


Le péril invisible

Partage International - juin 2006

par le Maître —, par l’entremise de Benjamin Creme

Si les hommes voyaient le monde comme nous, les Maîtres, le voyons, ils en seraient stupéfiés, abasourdis et apeurés tout à la fois. La manière dont ils se représentent l’état de la Terre est si éloignée de la réalité, et ils font de telles erreurs de jugement sur les perspectives à venir que, sans assistance, ils seraient condamnés à voir péricliter et mourir leur habitat planétaire.

En l’état actuel des choses, la planète Terre est en triste condition, et chaque jour qui passe aggrave une situation déjà critique. Nombreuses ont été les mises en garde concernant le réchauffement planétaire et d’autres problèmes d’environnement, mais même les prophéties les plus sombres restent en deçà des calamités qui menacent aujourd’hui le monde. Peu nombreux sont ceux qui voient l’immédiateté des périls, et l’urgence des mesures nécessaires pour y parer. 

Si grand que soit le danger auquel nous expose le réchauffement planétaire, celui-ci n’est hélas pas le plus important ni le plus grave auquel nous sommes confrontés. Sans que l’homme en ait conscience, il est engagé dans un processus lent mais régulier d’intoxication de sa propre espèce comme des règnes inférieurs. Les poisons et pollutions de toute nature, en tous domaines, constituent aujourd’hui le plus grand des périls pour les hommes, les animaux, et la Terre elle-même. Tous sont intoxiqués et malades, d’une façon ou d’une autre.

Une triste conjoncture

Inconnu de l’humanité mais flagrant pour nous, le plus grand des maux dont souffrent l’homme et la planète dans cette triste conjoncture a pour cause les radiations nucléaires. Les hommes ont commis une grave erreur en développant cette source d’énergie à haut risque. Egarés par la cupidité et les faux espoirs de profits élevés, ils ont concentré leurs recherches sur la « domestication » de la plus dangereuse des sources d’énergie jamais découverte par l’homme et ont négligé, ce faisant, un autre usage parfaitement sûr de l’énergie de l’atome. La fusion atomique est à leur portée ; elle s’opère à froid et sans le moindre danger, à partir d’un simple isotope d’eau disponible de toutes parts dans les océans, les mers et les rivières, pour ne pas mentionner l’eau de pluie.

L’homme doit cesser de « jouer avec la mort ». La fission atomique résulte de l’utilisation des bombes qui ont détruit Hiroshima et Nagasaki ; elle s’est déchaînée à Tchernobyl et occasionne, imperceptiblement, la maladie et la mort aujourd’hui. Elle est « ce qui se trouve là où ça ne devrait pas être », et l’homme doit y renoncer s’il veut continuer à peupler la Terre.

Des instruments rudimentaires

Les scientifiques de cette planète sont convaincus d’avoir réussi à dompter le monstre, et de le tenir sous contrôle. Ils ne se rendent pas compte que leurs instruments sont des plus rudimentaires, qu’ils ne mesurent que les aspects les plus bas des radiations nucléaires, et qu’au-dessus des plans physiques denses s’étendent des plans plus subtils où ces radiations se révèlent encore plus dangereuses pour la santé et le bien-être de tous. Sans les efforts incessants de nos Frères extraplanétaires pour atténuer ce péril invisible dans les limites où le permet la loi du karma, nous serions d’ores et déjà en très mauvaise posture. Humanité, réveille-toi !